
Le silence de Georges Bru
Parler de Georges Bru c’est d’abord parler du silence… Georges Bru peint le silence, un silence ouaté, presque feutré où seule crisse l’empreinte invisible de ces trappeurs de rêves suspendus au bout de leur crayon guettant la proie nouvelle comme des aventuriers perdus dans des décors de neige, la création, l’absence à l’état brute dont ils sont les singuliers propriétaires.