« Karine Poirier (dite Marie Kern) a saisi d’instinct, tandis qu’elle se passionnait pour Giono (…) que ses romans étaient pratiquement des drames et qu’ils appelaient tout naturellement des dialogues et une mise en scène. »
« J’ai été pris et bercé par les mouvements que je ressens à sa lecture.
Le côté onirique, voyage dans le temps, les œuvres d’écrivains, de poètes, de musiciens, de physiciens. »
« Si George Sand et Sarah Bernhardt n’ont fait que se croiser, en leur temps, il était stimulant d’imaginer en miroir ce que la vie de ces deux femmes pouvait inspirer de libres réflexions. C’est à cette confrontation, développée théâtralement »
« La pièce est très intéressante du fait de son « physique », des éléments de sa construction. Elle matérialise, donne à voir, à éprouver en suggérant avec des moyens simples (importance des lumières (…))… »
« Marie Kern aime les animaux, cela est indéniable et parmi toutes ces histoires qu’elle raconte, toutes ces pièces qu’elle se plait à imaginer, on trouve, si non la trace, mais la philosophie d’un monde où la place de l’Homme n’est plus au centre du monde. »
« Ce conte théâtral m’a séduite dès la première lecture par ce qu’il met en jeu de notre monde sans rite, sas célébration des passages, sans limites et si étroit… »
« C’est une très intéressante et très réussie adaptation du conte de Charles Perrault, « Le Petit Poucet ». L’auteur mélange à merveille l’imaginaire du conte et l’autre réalité fictionnelle d’un hôpital de guerre où la mort rode… »